Qui suis-je ?

Harmonie Pro Coaching a pour ambition d’accompagner les entreprises et les salariés à mieux vivre les changements.


Convaincue que le bien-être au travail est facteur de performance, Nadira accompagne les personnes et les entreprises au travers de 3 missions :


Le coaching : coach professionnelle certifiée RNCP, elle est spécialisée dans l’accompagnement des dirigeants, managers et leurs organisations (certification professionnelle FFP)

La formation (en cours de certification RNCP) : elle accompagne les personnes qui souhaitent développer leurs compétences managériales, commerciales et comportementales.

Enfin, le bilan de compétence lui permet d’accompagner les personnes qui ont un projet de reconversion ou d’évolution professionnelles.

Coach Harmonie pro coaching
Coach Harmonie pro coaching

Après une carrière de plus de 30 ans dans différents postes de management opérationnel, commercial ou de projet, Nadira a créé harmonie Pro Coaching afin de mettre son expérience au service de celles et ceux qui ont des difficultés à appréhender les changements.


Engagée dans le milieu associatif et présidente d’un club de course à pied pendant plusieurs années, Nadira a toujours eu à cœur d’accompagner les personnes vers leur épanouissement. Elle retrouve dans le sport, les défis que doivent relever les entreprises : se fixer des objectifs ambitieux, se préparer physiquement et mentalement et se mesurer aux concurrents. Cela ne s’improvise pas, la performance demande des efforts et un mental à toute épreuve !

Le fil rouge des prestations qu’elle propose avec Harmonie Pro Coaching : l’humain, son développement, son épanouissement…

En tant que coach certifiée, Nadira respecte la charte éthique du comité d’éthique du coaching :

Replacer les principes éthiques au cœur de ce métier en articulant éthique et déontologie est une obligation morale, une responsabilité qui intéresse chaque membre de la communauté professionnelle et l’autorise en toute liberté et conscience à se saisir de ces sujets.

Dans le domaine de l’éthique, si la communauté professionnelle n’assumait pas ses responsabilités, la protection du titre ne saurait se justifier durablement.

L’articulation éthique/déontologie : un enjeu pour l’avenir du Coaching.

Le COACH s’engage ainsi à respecter les principes suivants :

1. Respect des droits de la personne

Le COACH réfère son exercice aux principes édictés par les législations nationales, européenne et internationale sur le respect des droits fondamentaux des personnes, et spécialement de leur dignité, de leur liberté et de leur protection.

Il s’attache à respecter l’autonomie d’autrui et en particulier ses possibilités d’information, sa liberté de jugement et de décision. Il n’intervient qu’avec le consentement libre et éclairé des clients concernés. Réciproquement, toute personne ou toute organisation doit pouvoir s’adresser directement et librement à un COACH.

Le COACH préserve la vie privée des personnes en garantissant la confidentialité des échanges et des informations collectées, y compris entre collègues. Il respecte le principe fondamental que nul n’est tenu de révéler quoi que ce soit sur lui-même.

2. Protection des organisations

Le COACH est attentif aux métiers, aux usages, à la culture, au contexte et aux contraintes de l’organisation pour laquelle il travaille. Son « extériorité politique » est la base et la condition de son intervention.

Ainsi, le COACH ne peut s’autoriser à prendre parti dans ou participer à un conflit ou à des luttes d’influence. De la même manière, il s’interdit de donner des avis non sollicités, d’intervenir au-delà du strict cadre du Coaching, que la demande soit explicite ou implicite de la part du donneur d’ordre, de se muer en porte-parole de celui-ci ou de se substituer à un membre de l’organisation quel qu’il soit. Le COACH adopte une posture de neutralité et d’équidistance vis-à-vis de tous les acteurs du système client.

Il préserve, en garantissant la confidentialité des informations portées à sa connaissance, la sécurité des actifs stratégiques des organisations.

Le COACH doit s’assurer de l’utilité explicite de sa mission pour et dans l’organisation.

3. Compétence

Le COACH tient ses compétences :

  • d’une formation continue reconnue et ouvrant à un diplôme d’État ou une Certification Professionnelle inscrite au RNCP,
  • de la réactualisation régulière de ses connaissances,
  • de compétences opérationnelles régulièrement enrichies et mises à jour,
  • de sa capacité à opérer une transposition opérationnelle de ses connaissances vers la mise en œuvre et/ou la conception de processus de méthodes et d’outils d’accompagnement,
  • d’une formation à discerner son implication personnelle dans la compréhension d’autrui et des mécanismes qui régissent les interactions dans les organisations…

Chaque COACH est garant de son niveau de qualification. Il s’autorise en conscience à exercer son métier de COACH à partir de sa formation, de sa certification professionnelle reconnue et inscrite au RNCP au plus haut niveau ou de son diplôme d’État, qui attestent de l’acquisition des compétences propres à l’exercice de cette profession.

Il définit ses limites propres, compte tenu de sa formation et de son expérience. Il refuse toute intervention lorsqu’il sait ne pas avoir les compétences requises. Il engage un travail auto réflexif portant sur son niveau d’exercice et la validité de ses connaissances techniques. Il s’engage dans un processus de supervision et a recours à un superviseur lorsque la situation l’exige.

Quel que soit le contexte de son intervention et les éventuelles pressions subies, il fait preuve de prudence, mesure, discernement, impartialité et responsabilité.

4. Responsabilité

Outre les responsabilités définies par la loi commune, le COACH a une responsabilité professionnelle. Il s’attache à ce que ses interventions respectent les principes de la présente Charte. Dans le cadre de ses compétences professionnelles, le COACH décide du choix et de l’application des méthodes et techniques d’accompagnement mises en œuvre ; que celles-ci relèvent de méthodes et techniques spécifiquement conçues par lui ou préexistantes et disponibles. Il répond donc personnellement de ses choix et des conséquences directes de ses actions et avis professionnels auprès de ses clients.

Il peut remplir différentes missions et fonctions : il est de sa responsabilité de les distinguer et de les faire distinguer.

Avant toute intervention, le COACH s’assure du consentement libre et éclairé de ceux qui le consultent ou qui participent à un processus de Coaching. Il a donc l’obligation de les informer de façon claire et intelligible des objectifs, des modalités et des limites de son intervention.

5. Intégrité et Probité

Le COACH a un devoir de probité dans toutes ses relations professionnelles. Ce devoir se fonde sur le respect des principes éthiques du Coaching et l’observance de règles déontologiques qui en découlerait, ainsi que de son effort continu pour affiner ses interventions, préciser ses méthodes et définir ses buts.

Le COACH a pour obligation de ne pas exploiter une relation professionnelle à des fins personnelles, religieuses, sectaires, politiques, ou en vue de tout autre intérêt idéologique.

Conscient de sa position, le COACH s’interdit tout abus d’influence.

6. Qualité scientifique

Les modes d’intervention choisis par le COACH doivent pouvoir faire l’objet d’une explicitation raisonnée de leurs fondements théoriques et de leur construction. Toute évaluation ou tout résultat doit pouvoir faire l’objet d’un débat contradictoire des professionnels entre eux.

7. Respect du but assigné

Les dispositifs méthodologiques mis en place par le COACH dans le cadre de son accompagnement des individus, des équipes ou des organisations, répondent aux motifs de ses interventions, et à eux seulement dans le respect de la demande du système client.

Tout en construisant son intervention dans le respect du but assigné, le COACH doit néanmoins prendre en considération les utilisations possibles qui peuvent éventuellement en être faites par des tiers.